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QU'EST-CE QUE L'AFCA-1966?
Lancée en 1966, l’Association Française pour "la Coupe de l’America" a été créée par le baron Marcel Bich afin de conquérir l’un des plus anciens trophées sportifs du monde: la Coupe de l’America.
Formant des équipages composés de marins expérimentés et de novices, soudés par cet objectif commun, elle a été à l’origine des 4 premières participations de la France (1970 à 1980) à ce qui deviendra «La Coupe Louis Vuitton».
L’association a permis le lancement de « France » en 1970, premier voilier français de la jauge 12 MJI.
Ce bateau, dont elle est propriétaire, est le seul voilier français ayant participé à trois reprises aux défis de la Coupe de l’America (1970, 1974 et 1977). Elle assure la transmission et la valorisation de ce patrimoine maritime unique, classé Monument Historique depuis 1992.
LES OBJECTIFS DE L'AFCA-1966
Entretien du bateau France I:
Grâce à un noyau d'anciens équipiers et d'experts bénévoles de la région, France I est entretenu dans les meilleures conditions possibles.
Avec l'aide d'autres adhérents bénévoles, ils réalisent tout ce qui est possible de faire par eux-mêmes. Ils réparent tout ce qui peut être réparé et, pour les achats indispensables tels que les winchs, voiles, etc., l'AFCA-1966 s'approvisionne auprès de fabricants français et régionaux afin de mettre en avant le savoir-faire français comme à l'époque pour la coupe de l'America.
Si vous souhaitez faire un partenariat avec nous, n'hésitez pas à nous contacter à contact@afca-1966.com .
Navigation avec le bateau France I :
Depuis sa création, l’AFCA-1966 a pour objectif « la formation et l'entraînement d'équipages [et de faire] découvrir la voile de compétition aux jeunes. »
Aujourd'hui encore, l'AFCA-1966 permet à un noyau d'anciens équipiers de l'America's Cup de transmettre leurs connaissances à des jeunes venant de tout horizon, leur offrant ainsi l'opportunité de se former à la navigation de compétition sur un bateau d'exception habituellement réservé à l'espace privé.
France I sort régulièrement pendant la saison pour des entraînements et des régates dans le bassin méditerranéen.
Actions sociales :
Les adhérents s'engagent également de plusieurs façons dans le domaine social. Ils organisent des visites de France I lors des Journées du patrimoine, des visites scolaires, et des partenariats avec l'office du tourisme de Hyères.
Ils offrent des sorties en mer aux personnes en situation de handicap et à d'autres associations en tant que lots pour des projets sociaux
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Si vous êtes un groupe, n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse contact@afca-1966.com pour que nous vous organisions une visite de France I. Nous vous raconterons également le rôle joué par l'AFCA-1966 et Marcel BICH entre 1970 et 1980 dans la Coupe de l'America.
Communication :
Sur notre site internet, nous souhaitons réunir tous les documents (photos, films, articles de presse, etc.) retraçant l'histoire de l'AFCA-1966, de sa création à nos jours. Les internautes peuvent découvrir l'implication de Marcel BICH dans la Coupe de l'America, l'histoire de l'AFCA-1966, ainsi que la vie de l'association, incluant l'entretien du bateau, les entraînements, les régates et les actions sociales. Ces informations sont également partagées via nos réseaux sociaux : Facebook, Instagram, LinkedIn, Google et YouTube.
Si vous souhaitez nous suivre sur nos différents réseaux sociaux, cliquez ici : https://bit.ly/afca1966
Si vous souhaitez partager des documents pour enrichir le site internet, vous pouvez les envoyer à contact@afca-1966.com.
DES « ANCIENS » AU PALMARES IMPOSANT
Participants à 1, 2 ou 3 éditions de la Coupe de l’America
Champions du Monde de 12 MJI
Champions du Tour de France à la Voile
2ème de la TwoStar 81 sur Ultim et détenteur du record de la Transat
Et bien d’ autres encore!
DES BÉNÉVOLES ENGAGÉS AU SERVICE DU PROJET
2 barreurs/tacticiens (ex America’s Cup)
30 équipiers interchangeables pouvant composer 2 équipages
1 responsable technique (ex America’s Cup, professionnel du nautisme)
1 responsable sécurité
1 responsable communication
1 responsable gestion
L'AFCA-1966 EN QUELQUES CHIFFRES (2023)
76 adhérents
Nombre de femmes adhérentes : 22
Nombre d'adhérents de moins de 30 ans : 18
Nombre d'adhérents ayant participé à la Coupe de l'America : 8
AFCA HORIZON 2025
L’AFCA-1966 possède aujourd’hui un vivier de compétences, de savoir-faire et d’expérience unique dans la classe 12 M JI.
Notre défi pour demain sera de développer notre association en pôle de performance et d’excellence de navigation. L’AFCA-1966 souhaite initier la création d’une flottille de 12 M JI, par partenariat ou acquisition, et relancer cette jauge en Méditerranée.
Avec l’objectif de poursuivre l’œuvre initiée par Marcel BICH, l’association proposera ainsi une possibilité de formation unique par des entrainements dédiés aux 12 M JI.
Tout en assurant ses actions et formations "sociétales" hors cadre sportif compétition, elle générera des leviers économiques supplémentaires en ressources et visibilité tant pour les institutions publiques nous soutenant (Ville, Métropole, Département, Région), que pour nos partenaires privés.
L'HISTOIRE D'UN MONUMENT HISTORIQUE
1965. Marcel Bich s’intéresse à la Coupe de l’America : L’industriel français qui a révolutionné l’écriture avec le lancement en 1950 du stylo BIC® Cristal®, poursuit l’implantation de son entreprise dans le monde entier et pratique la voile en famille. Passionné de compétition et homme de défi, il s’intéresse à la Coupe de l’America. Réservée jusqu’alors aux anglo-saxons, elle est organisée par le New York Yacht Club depuis 1851 et courue à Newport depuis 1930.
1965. Préparation du défi : Dès 1965, Marcel Bich fonde l’AFCA (Association française pour la Coupe de l’America) et achète Sovereign, le challenger anglais de la Coupe de l’America en 1964, puis Constellation et Kurrewa.
1966 & 1967. Entraînements à Hyères : Sorties, tests des voiles et du matériel, entraînements des équipiers en match race se poursuivent sur les trois 12 Mètres J.I.Sovereign, Constellation et Kurrewa, sur les bases de Hyères. En septembre 1967, Marcel Bich suit les régates de la Coupe de l’America aux États-Unis et à l’issue de celle-ci remet son défi au NYYC.
1967. Le New York Yacht club accepte de changer les règles : Marcel Bich prépare son challenge mais le règlement en vigueur ne l’assure pas de pouvoir y participer. En octobre 1966, au cours d’un déjeuner dans les salons du New York Yacht Club, il avait suggèré à ses dirigeants de modifier les règles de la compétition : le challenger, qui affronterait le defender, serait pour la première fois sélectionné après des régates éliminatoires entre plusieurs challengers, comme faisait le NYYC entre ses propres bateaux. L’idée est plusieurs fois refusée puis finie par être acceptée en décembre 1967.
1969. Chancegger : Marcel Bich demande à l’architecte américain Britton Chance de dessiner un 12 Mètres J.I. qu’il fait construire en Suisse, au chantier Hermann Egger. Ainsi sortit Chancegger, un bateau qui ne devait jamais courir mais seulement servir à préparer la construction du futur bateau compétiteur et participer aux entraînements. Mme Sargent Shriver, épouse de l’ambassadeur des États-Unis en France et sœur du président Kennedy, est la marraine de Chancegger, mis à l’eau en 1969.
1970. Construction de France : C’est l’architecte naval français André Mauric qui dessine France. Construit en France – comme l’exigeait le règlement de la Coupe de l’America – à Pontarlier (Doubs), ce premier 12 Mètres J.I. français fut servi par un savoir-faire et des techniques de haut niveau en particulier pour la construction de la coque en 3 plis d’acajou de plus de 30 ans et pour les winchs faits en France sous la direction de Claude Bich. En 1970, France est mis à l’eau à la Trinité-sur-Mer (Morbihan), dont les conditions de navigation sont comparables à celles du plan d’eau de Newport, et baptisé en mai.
1970. Le France à Newport : Après un mois de mise au point avec ses sparring partners Chancegger et Constellation, le bateau est envoyé à Newport Rhode Island avec ses lièvres Constellation et Chancegger où il continue sa préparation. Il faut affronter le bateau Australien Gretel et son équipage rompu aux manoeuvres de la Coupe puisque c’est leur 3ème challenge. Louis Noverraz, le champion suisse médaillé olympique à Mexico et son équipage français perdent la première manche de peu. Poppie Delfour perd la seconde. Le champion suisse reprend la barre sans plus de succès. Marcel Bich décide alors – perdu pour perdu – de barrer lui-même son France pour l’ultime course. Il embarque Eric Tabarly, alors au sommet de sa gloire nationale en tant que coureur au large. Rien n’y fait. Gretel a déjà gagné alors que France, égaré dans un épais brouillard, ne trouve la ligne d’arrivée qu’avec difficulté. On apprendra 25 ans plus tard que les Australiens, à la limite extérieure du règlement, ont fait du homing gonio sur leur tender astucieusement mouillé à une longueur de la ligne d’arrivée.
1971. 1972. Une tentative Danoise interrompue… : Après l’échec du premier Défi français dans la Coupe de l’America en 1970, l’AFCA se tourne vers Pol Elvström, le Danois Volant, quatre fois champion olympique. France est emmené au Danemark, l’entraînement commence et un mât révolutionnaire est fabriqué. Mais lorsque l’équipe de Pol Elvström en 1972 remorque France, chargé de plusieurs mâts – et de nuit !- d’un port à l’autre, le bateau embarde et coule par 20 mètres de fond. Il faudra quelques jours pour le renflouer et la coque en porte, aujourd’hui encore, quelques stigmates. On rapatrie le bateau. C’est la fin de l’expérience danoise.
1974. France dans la Coupe de 1974 : Le temps presse et il n’y a pas d’autres solutions que d’aller au combat avec le valeureux France remis en état et amélioré. Jean-Marie Le Guillou, Champion du Monde de 5,5 J.I., porte les couleurs françaises lors de la Coupe de 1974 mais perd les régates de sélection contre le bateau Australien Southern Cross, le premier bateau d’Alan Bond qui gagnera la Coupe en 1983.
1977. Troisième campagne de France sur FRANCE II : L’AFCA décide de construire un nouveau bateau. Les essais en bassin de carène ont été très prometteurs et il est merveilleusement construit. Une véritable flottille est réunie à Hyères (Var) pour préparer la Coupe de 1977 à Newport : Constellation, France et France II.Constellation le vieux vainqueur américain de la Coupe demeure redoutable au louvoyage. Les premiers essais de France II sont décevants mais on attribue cette langueur à un manque de mise au point. France II remue beaucoup d’eau. Après 10 jours et de nombreuses heures de cravache, rien n’y fait ! Il faut se rendre à l’évidence : France II est moins rapide que France. Il faudra faire la campagne de Newport avec le vaillant France, un vétéran de 7 ans ! Des cockpits étanches sont ajoutés pour satisfaire aux nouveaux règlements et le plan de voilure est légèrement modifié. Une mini Coupe de l’America est organisée en interne entre 3 skippers ; Bruno Troublé gagne cette sélection et sera le barreur de France. France gagne quelques régates lors des sélections malgré son grand âge : les premières victoires de l’AFCA. Mais il est éliminé avant la finale et Australia devient le challenger.
1980. France III en finale : France sert de lièvre à France III, le troisième 12M J.I. de l’AFCA, construit en aluminium et nettement plus rapide. Avec le même skipper qu’en 1977, France III parvient en finale des challengers après avoir éliminé les anglais. Il perd face à Australia. Cette performance demeure le meilleur résultat français dans la Coupe. C’est la fin de la carrière de France dans la Coupe de l’America. Marcel Bich se retire avec panache.
1984. France prêté à la Suisse : L’AFCA décide de prêter France au nouveau défi genevois qui tente sans succès de participer à la Coupe de 1987. Le bateau est rebaptisé Helvetia, navigue quelques mois à Genève et échappe de peu à l’incendie qui ravage le chantier où il se trouve. L’AFCA récupère le bateau, lui redonne son nom et le confie à l’Ecole Navale pour qu’il participe à la formation des officiers.
1984 à 1992. France à l’Ecole Navale : France navigue en Bretagne avec de jeunes officiers en formation à l’Ecole Navale mais il est de moins en moins utilisé du fait de son coût d’exploitation élevé. En 1992 le bateau est classé Monument Historique par Jack Lang, Ministre de la Culture.
1992 à 2010. Dernière sortie avant 20 ans : France hisse les voiles pour la dernière fois lors du rassemblement à Brest 92 avec Eric Tabarly. Puis il est désarmé, bâché et mis sur son ber à l’Ecole Navale. Il y restera près de 20 ans.
2010 à 2011. La reconstruction de France : La famille Bich, Bruno Troublé et Thierry Verneuil entreprennent d’offrir une nouvelle vie au premier 12M J.I. français. Grâce au soutien de l’Ecole Navale et de la Marine Nationale, France est rendu à l’AFCA et transporté au chantier de Vilaine à Arzal (Morbihan).
2012. France au Salon Nautique de Paris : Pendant 10 mois, l’équipe du chantier de Vilaine dirigé par Emmanuel Darviot, secondé par son maitre charpentier entouré de ses équipiers et avec à leur côtés Ben Le Saout, ancien de l’AFCA et Jacques Fauroux, architecte, mènent à bien la restauration de la coque de France. Ils font un travail remarquable d’ébénisterie de marine, en respectant le fabuleux ouvrage des compagnons-charpentiers de marine du chantier Egger qui l’avaient construit. Dans ce projet d’offrir une seconde vie à France, l’AFCA bénéficie du soutien du Ministère de la Culture et du Patrimoine, du Conseil Général du Morbihan et du Conseil Régional de Bretagne et de la Fondation Bénéteau. C’est grâce à la Fédération des Industries Nautiques (FIN) et à l’organisateur du Salon nautique, Reed, que le bateau est exposé dans le Hall 1 sur le stand du Morbihan.
2013. France à nouveau sur les flots : France retrouve l’océan et les embruns en avril 2013 avec un équipage mixte d’anciens et de jeunes régatiers, comme l’avait toujours souhaité Marcel Bich. Il navigue en Atlantique et en Méditerranée.
2020. France célèbre ses cinquante ans lors des Régates Royales à Cannes: France continue de régater chaque année dans les régates les plus prestigieuses. Il est aujourd’hui basé à Hyères.
Au-delà d’avoir été le premier voilier français challenger pour la Coupe de l’America, France est un bateau construit dans le Jura et de façon extraordinaire par les compagnons charpentiers de marine du chantier suisse Egger, le meilleur chantier bois au monde.
Des acajous trentenaires montés en 3 plis ont permis à sa coque de rester en parfait état après plus de 50 ans. Le classement « Monument Historique » en 1992 implique qu’il soit remis dans son état d’origine.
Le gros du travail, mené avec expertise par le charpentier de marine du Chantier Naval de Vilaine, a été le remplacement des barrots de pont, la pose d’un nouveau pont et de ses aménagements, ainsi que la pose d’un couple porque à l’arrière. Le safran a été reconstruit et le trimmer remis en état. L’excellent travail de peinture a permis de remettre France dans sa livrée d’origine de 1970.
Les caractéristiques d'un 12MJI
Le terme 12-Mètre fait référence au produit final d’une formule mathématique qui relie un nombre défini de dimensions du bateau. Cette formule spécifie que la longueur du bateau plus deux fois sa différence de circonférence moins le franc-bord plus la racine carrée de sa surface de voilure, divisé par 2,37 doit égaler 12. La formule s’écrit :
Brièvement, les symboles mathématiques sont:
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L est la longueur du bateau mesurée à une hauteur de 180 millimètres au-dessus de la LWL (ligne de flottaison de charge). Ce L mesure environ 14,63 mètres (48 pieds) pour un 12-Mètre moyen.
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d est la différence entre le périmètre du contour et le périmètre de la chaîne (voir ligne en pointillé sur le dessin au milieu du franc-bord du navire) mesurée à un point situé à 55 pour cent la longueur de la LWL depuis la proue.
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F est la moyenne de trois mesures de franc-bord : une à l’avant, une au point 0,55 LWL et une à l’arrière. Le franc-bord arrière ne peut pas représenter plus de 82,5 % du franc-bord à l’avant, et le franc-bord à l’avant doit être supérieur de 20 à 50 % au franc-bord du milieu du navire. Ces restrictions légales ne s’appliquent qu’aux bateaux mis à l’eau à partir du 31 décembre 1975. Le franc-bord maximal (F) utilisé dans la formule ne doit pas être plus grand que 1,21 mètres (3,97 pieds). Un 12 mètres ne peut être plus étroit que 3,60 mètres (11,8 pieds) sans pénalité.
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S est la surface vélique de la grand-voile et du triangle avant en mètres carrés. Les valeurs nominales surfaciques de la grand-voile est (Ax B)/2, où A est la longueur du guindant de la grand-voile et B est la longueur de la bordure. La hauteur maximale du plan de voile ne peut pas être plus grande 25,18 mètres (82,8 pieds) au-dessus du pont du bateau.
La surface vélique d du triangle avant est de (0,85)[(lxJ)/2], où I est la distance mesurée entre le point situé sur le pont à de 180 millimètres (environ 7 pouces) à l’avant du mat et la hauteur à laquelle les étais recoupent le mât et J est la distance entre l’avant du mât jusqu’au bord arrière de l’étai. La surface vélique totale pour un 12 mètres est d’environ 167 mètres carrés, ou 1 800 pieds carrés.
Bien que, ces paramètres constituent la base de la formule du 12-Mètre, il existe certaines autres restrictions. Par exemple, le tirant d’eau d’un 12-Mètre ne peut pas dépasser 16% du LWL plus 500 millimètres (environ 19,7 pouces) : cette restriction produit un tirant d’eau d’environ 2,74 mètres (9 pieds) pour le 12-Mètre moderne moyen. Le déplacement ne peut être inférieur à (0,20 LWL + 0,15)3 mètres cubes. Entreprise, par exemple, déplace environ 26,54 mètres cubes ou 60.000 livres. Et le périmètre de chaîne doit couper le périmètre du contour à une distance de 1500 millimètres du LWL.
D’autres exigences qui n’ont pas d’incidence spécifique sur la puissance nominale ont trait aux ouvertures de pont, au diamètre et au poids du mât. Il ne peut y avoir plus de 11 membres d’équipage à bord pendant une course, et il y a des limites sur la quantité d’équipement autorisée et le nombre d’ouvertures de pont. Les cockpits doivent maintenant être auto-drainant.
Plusieurs repères de mesure sont requis. Deux points rouges, un sur chaque côté de la proue, marquent l’extrémité avant de L. Du côté de la poupe, sur la ligne médiane, sont peints deux rectangles en couleur contrastée au bateau. Ceux-ci marquent l’extrémité de L et L1 (un point de mesure utilisé pour déterminer une relation entre le pont et les distances de périmètre). Au centre du franc-bord, les marques d’immersion triangulaires touchent juste l’eau lorsque le bateau est en condition de mesure.
UN ENCADREMENT DE COMPÉTITEURS INTERNATIONAUX
« Paulet » Paul AYASSE
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Equipier de la Coupe de l’America (1974, 1980)
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8e de la course autour du monde en équipage (1977)
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Vainqueur de la Baule-Dakar sur Elf Aquitaine (1980)
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2e de la Transmed (1984)
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3e du championnat du monde de Quarter-Ton (1985)
« Bondu » Marc BONDUELLE
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Equipier de la Coupe de l’America (1970, 1977, 1980)
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Skipper de Gitana V
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Champion de Méditerranée sur Gitana V (1984)
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Vice-champion du monde de 8 M JI (1998)
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5 transats dont 1 sur « Shenandoah »
« Totone » Robert GONIDEC
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Champion du monde de course au large Admiral’s Cup – Equipe Corum (1991)
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Champion du monde de Two- ton (1993)
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Champion d’Europe et du monde de 12 M JI (1996 et 2001)
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Record de l’Atlantique Mono (1998) 8 jours 23 heures
« Dom » Dominique Surcouf
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Equipier de la Coupe de America (1977, 1980)
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Champion du monde de micro toner (Toulon)
« Chris » Christophe Alzieu
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Champion d’Europe IRC
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2 fois champion de France des équipages
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2ème de la Copa del Rey
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6 fois vainqueur de la coupe de Porquerolles
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3ème du championnat du monde de formule 18